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      • Paris-Nice : une journée de folie

      • Publié le 14/03/2015
          • Alors que Gallopin triomphait (voir par ailleurs), derrière, c'était bien souvent la débandade ! Ce samedi n'est pas forcément une bonne journée pour les Bretons même si Gautier limite la casse... Coquard et Barguil ont abandonné, tout comme une quarantaine de coureurs. Chez BSE, McKay et Hutarovich ont quitté la course. Quant à Sepulveda, il a perdu 18 place au général ! Témoignages...
          • Paris-Nice : une journée de folie
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            Eduardo Sepulveda est passé de la 21e à la 39e place au classement général : " Je n'étais pas si mal placé dans la descente de la côte de Châteauneuf, dans les vingt premiers. Je glisse sur une plaque d'égoût, je me couche sur la route, je tombe. Je n'ai presque rien, deux éraflures. Mais je me retrouve derrière une fois relevé et dans la montée suivante, le peloton se casse en plusieurs groupes. J'ai fait la montée à bloc mais pas moyen de revenir." Et le pire était à venir car l'Argentin a ensuite payé ses efforts : "J'étais frigorifié, comme rarement sur un vélo. Je voulais disputer le chrono du col d'Èze pour me rapprocher des dix premiers demain. Il va falloir trouver une autre motivation."

            Le récit de Florian Vachon laisse songeur : "C'est l'une des journées les plus froides que j'ai vécu dans ma carrière. J'étais sur couvert mais quand j'ai vu 3°5 sur mon compteur en haut de Saint-Roch, j'ai compris ma douleur. J'ai mal partout tellement j'ai "gainé" pour ne pas trop trembler sur le vélo. Je sortais un pied de temps en temps pour tenter de réchauffer, sans résultat. Quelle folie !"

            Du côté de Pierrick Fédrigo, on confirme, la journée est à oublier même si, paradoxalement, il va s'en souvenir longtemps:  "Ce sont des journées dont tu te rappelles, qui usent... Il faut se battre tout le temps lors d'une journée pareille. Les bosses, la pluie, le froid, tout est contre toi. Se battre et ne jamais lâcher. Je veux bien que ça forge le caractère, mais on préfèrerait éviter..." Pour Jonathan Hivert, la conclusion est encore plus simple et doit correspondre à de nombreux coureurs : "J'ai fini comme j'ai pu."

             

             

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