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      • Bryan Coquard, nouvelle bombe du sprint

      • Publié le 04/04/2013
          • Bryan Coquard fêtera son 21e anniversaire sur le Tour de Turquie (le 25 avril, jour d’arrivée à Turgutreis où son coéquipier d’Europcar Jérôme Cousin était passé près de la victoire l’an passé) et déjà, c’est un cycliste qui compte sur l’échiquier international.
          • Bryan Coquard, nouvelle bombe du sprint
          • Bryan Coquard, nouvelle bombe du sprint
          • Vice-champion olympique de l’omnium à Londres et vice-champion du monde U23 sur route à Valkenburg l’an passé, il est entré de plain-pied dans la carrière professionnelle en enchaînant quatre succès : deux étapes de l’Etoile de Bessèges et deux autres au Tour de Langkawi. S’y ajoutent cinq places de deuxième, dont deux derrière Nacer Bouhanni (FDJ) qui donnent au cyclisme français de quoi nourrir sa chronique avec la rivalité sportive naissante de deux jeunes sprinters de grand talent.

            « Perdre un sprint face au champion de France, ce n’est pas une honte pour moi qui débute chez les pros, s’est incliné Coquard sur le Circuit de la Sarthe. Je suis encore là pour apprendre. Et c’est dans cet état d’esprit que je vais aller au Tour de Turquie où il y aura un gros plateau de sprinters. Pour continuer à progresser, c’est le top ! »

            A Bessèges, il avait montré sa roue arrière à des sprinters de second rang, français et belges essentiellement. En Malaisie, il s’est frotté à un niveau plus international : d’abord battu par Theo Bos qui s’est retiré à mi-parcours, il a trouvé la bonne formule pour se déjouer d’Andrea Guardini et de Francesco Chicchi, eux aussi vainqueurs d’étapes au Tour de Langkawi et appelés à se revoir à Alanya à partir du 21 avril. Ayant prouvé qu’il avait des ressources au-delà d’une semaine de course malgré son jeune âge, Coquard a encore donné une indication sur son avenir radieux dans les situations où le cyclisme devient très difficile, en se classant 16e de sa première classique du World Tour, Gand-Wevelgem, dans un groupe réglé par André Greipel à 40 secondes seulement du lauréat, Peter Sagan.

            Greipel, justement : Coquard est impatient de se frotter à l’homme qui compte sept victoires d’étapes au Presidential Tour de Turquie depuis 2010 et en est déjà devenu l’icône. « Les sprints qui s’annoncent en Turquie seront différents de ceux que j’ai disputés cette année, prévoit-il. Plus il y a de sprinters et d’équipes pour emmener, plus les sprints sont structurés et c’est là où je dois encore faire mes preuves, mais pourquoi pas gagner une étape ? En tout cas, je vais essayer. »

            « Je ne connais rien du tout de la Turquie, enchaîne-t-il avec un énorme sourire, mais on m’a dit que c’était super ! Il y fait chaud, les parcours sont beaux et pas faciles. J’y vais avec une grande motivation. »
             

            Source Communiqué de presse Tour de Turquie
             
            Plus d’informations sur www.tourofturkey.org

             

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