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Sportbreizh, pour le dynamisme du vélo breton
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          • La reine des classiques ne laisse personne indifférent, chaque coureur a une histoire avec les pavés. Entre enfer et paradis, il y a 257 kilomètres dont 55 kilomètres de secteurs. Premier acte à 15h10 avec la présentation de l'équipe. Ombre au tableau, Brice Feillu, victime d’une angine, ne sera pas au départ à Compiègne ; il est remplacé par Maxime Daniel.
          • Des Bretons vers Roubaix
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            Les Bretons

             

            FDJ
            117 LE GAC Olivier

            Direct Energie
            126 MORICE Julien

            Fortuneo - Vital Concept

            201 MCLAY Daniel
            202 BONNAMOUR Franck
            203 CORBEL Erwann
            204 DANIEL Maxime

            205 JARRIER Benoit
            206 MOUREY Francis
            207 PERICHON Pierre-Luc
            208 VALLÉE Boris

             

            Les réactions

             

            Franck Bonnamour 
            « Tout le monde connaît Paris-Roubaix même les gens qui ne suivent pas trop le vélo, c’est quelque chose d’être au départ. L’an passé, je garde un bon souvenir de l’ambiance mais j’avais souffert… beaucoup.  Cette année, ma condition est meilleure. J’étais déçu de ne pas finir. Donc 2017 : objectif vélodrome. J’aimerais prendre l’échappée même si ça va batailler. C’est la plus difficile de l’année, on est 150 à vouloir être dedans. Nerveusement et physiquement, on laisse du jus. »
             
            Erwann Corbel 
            « Il y a un mélange d’excitation et d’appréhension. D’un côté on va disputer la plus belle course du monde, de l’autre on sait qu’on va souffrir comme jamais. C’est un vrai enfer. Après un secteur, on n’a pas forcément mal aux jambes, mais décoller les mains du cintre est un vrai sport (rires). Je suis content d’y être, j’ai hâte mais je sais que je vais ramasser. Je regardais Roubaix à la télé, c’était le dimanche où avec ma famille on scotchait devant la télé avec un bon gâteau de maman (rires). L’ambiance est dingue. Il y a une foule incroyable. La trouée d’Arenberg, il faut l’avoir fait sur un vélo…  on est à deux sur le pavé, il y a un monde fou de chaque côté, des drapeaux au-dessus de nos têtes, on n’entend plus le vélo sur les pavés, seulement la foule… on a des frissons et on profite. »
             
            Maxime Daniel 
            « Je n’arrive pas dans les meilleures dispositions, j’ai été gêné en mars par une tendinite à la cheville, je ne me suis pas spécifiquement préparé pour Paris Roubaix mais c’est la course qui me faisait rêver petit, donc forcement je suis heureux de prendre le départ. L’an passé, j’avais pris beaucoup de plaisir à être dans l’échappée. J’avais terminé 28ème, dans le groupe à Cancellara, après avoir travaillé pour mon leader. Je ne me mets pas de pression, je n’ai pas fait la reco mais les pavés ça ne s’oublie pas. »
             
            Sébastien Hinault - directeur sportif 
            « Une bonne journée dimanche ? Avoir un coureur dans l’échappée et accrocher un Top 20. Comme DS on craint moins la chute par contre… on s’inquiète pour huit. On finit également la journée fatigué (rires) » 
             

          • Compiègne ( 60 )
            Roubaix ( 59 )
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