Les championnats en musique
Tout comme celui des abers, le Bagad de Bourg-Blanc était présent ce samedi sur les routes des championnats. Les airs bretons se sont fait entendre pendant les épreuves Dames et Amateurs. A coup de biniou et de cornemuse, le Bagad était formé d’une dizaine de musiciens pour les répétitions samedi. Ils sont une vingtaine ce dimanche pour la course des pros.
Des drapeaux bretons pour soutenir nos coureurs locaux
Le comité de Bretagne tenait un stand au village situé près de la ligne d’arrivée. Il a mis des drapeaux "gwenn ha du" à la disposition des spectateurs pour le prix de 5 euros. Le stand tenu par Christophe Le Mée (président du BIC 2000 et vice-président du comité de Bretagne) et Sezny Le Fourn (salarié du comité) a accueilli les fans durant le temps de ces championnats de France.
Ecrans Géants !
Quatre écrans géants étaient situés tout le long du circuit des championnats. Deux d’entre eux étaient placés à des endroits stratégiques du parcours : un au niveau du ribin et un autre à l’arrivée, les spectateurs présents sur la ligne d’arrivée ont ainsi pu vivre samedi et dimanche le spectacle final des épreuves Amateur et Elites de ces championnats de France sur l’écran géant à quelques mètres du podium.
Champion
Parmi le public présent sur les abords du circuit, nous avons croisé Valentin Madouas, récent vainqueur du Trophée des Espoirs. Le brestois était accompagné de Théophile Le Blanc triple champion de Bretagne junior sur piste, ce dernier étant indisponible pour un petit moment suite à une greffe de doigt lié à un incident domestique.
Les campings-caristes
C’est une véritable ville qui s’est formée avec l’arrivée d’un millier de camping-car sur le site des championnats de France. Chacun venait pour une raison particulière, soit pour encourager un proche ou par amour de la petite reine. Au détour d’un parking, nous avons pu croiser des habitants de l’Ile de Noirmoutier venu supporter l’équipe Europcar, il faut dire que le gendre de ces charmants vendéens est assistant dans la formation de Jean René Bernedeau. Venu de moins loin, un directeur sportif d’une formation bretonne qui avait deux de ses coureurs au départ de l’épreuve amateur, accompagné de sa famille, s’est installé hors des sentiers battus.
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