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Sportbreizh, pour le dynamisme du vélo breton
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          • C’est bien connu, le cyclisme est un sport individuel qui se pratique en équipe. Les coureurs franciliens Lucas et Joshua Dubau viennent de réinventer un cyclisme qui se court en famille ! Cela doit se bien trouver dans les archives cyclistes que des frangins terminent un et deux d’une épreuve, mais que deux frères, qui plus est, jumeaux terminent sur les deux premières marches d’un podium de championnat de France, cela doit être plus rare. Nous dirions bien unique, mais en ce week-end de courses, Sportbreizh n’a pas eu le temps de plonger dans les statistiques. Les réactions des frangins.

          • Les Dubau: « Un et deux, c’est magique ! »
          • Course de famille (Lucas) : Parfois Joshua était devant et je faisais le tempo derrière pour qu’il puisse prendre de l’avance. C’est revenu ! Mais quand on se retrouve à sept coureurs ensemble à mi-course, ce n’est pas l’idéal. Puis dans la montée après le poste de dépannage, j’étais vraiment à l’aise et je me suis dit que c’était maintenant : « Tu ne te relève plus ». Et cela a marché !

             

            La grande forme (Lucas). J’arrive en forme en fin de saison. Lorsque vous vous préparez pour les épreuves de coupe du monde, qu’à la première manche tu finis 27e, puis 20e, puis 17e, tu te dis qu’il y a vraiment un soucis. Je me suis vraiment alors remis en question à Namur, même si pourtant cela allait bien à l’entrainement. Depuis Namur et ma 3e place, cela allait beaucoup mieux. J’ai pris de l’assurance et donc je suis arrivé en confiance, ici à Quelneuc.

             

            Le signe indien (Lucas). Je me disais jusqu’à présent que j’étais maudit ici à Quelneuc. Au championnat de France cadet (2012), j’étais en tête jusqu’à 15 mètres de la ligne et je finis 2e. A la Coupe de France en junior, j’entame le dernier tour en tête mais je finis 4e. L’année passée au championnat de France, je tombe et je casse mon guidon. En arrivant ici aujourd’hui, je me disais que cela allait être pareil. A l’amorce du dernier tour, lorsque j’avais 20 secondes d’avance, le public me scandait que j’allais gagner. « J’avais envie de leur dire : « mais taisez-vous ! Vous allez me porter malheur ». J’avais peur de l’ennui mécanique, de la crevaison, de la chute. J’étais content de passer la ligne.


            Qu’en penses-tu frérot ? (Lucas). On ne pouvait pas espérer mieux aujourd’hui. Sur la fin j’ai temporisé. Vraiment de faire « deux ». Cela m’aurait plu de porter le maillot de champion de France, mais franchement ce n’est pas une déception. Nous avions pris le départ pour qu’il y ait un de nous qui reparte avec le maillot. Peu importe lequel. 

             

            Propos recueillis par Albert LE ROUX / Photo Gurvan Sévenou

          • Quelneuc ( 56 )
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