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Sportbreizh, pour le dynamisme du vélo breton
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      • Les plus et les moins du Tour

      • Publié le 27/07/2015
          • Les plus et les moins du Tour
          • Du côté breton, on ressort de ces trois semaines de Tour de France avec le sourire : Warren Barguil s’est révélé aux yeux du grand public et a confirmé le talent que l’on connaissait. Cyril Gautier s’est également distingué comme son coéquipier baroudeur d'Europcar Pierrig Quémeneur. Les BSE se sont aussi montrés sur le devant par leur courage, il auraient pu finir encore un Tour de France au complet sans la mise hors course de leur leader Eduardo Sepulveda.
          • Les plus et les moins du Tour
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            On a aimé 

            le caractère de Warren Barguil : Pour son premier Tour de France, Le Morbihannais a été impressionnant sur la première semaine du Tour. Il a fait mieux que se défendre : A l’avant lors des bordures aux Pays-Bas ou encore sur l’étape des pavés. Malheureusement sa chute lors de la première étape pyrénéenne l’a un peu gêné. Il Boucle son premier Tour à la 14e place du général, de bon augure pour le futur ! Et puis l’on retiendra aussi sa rencontre avec les vaches dans la descente du Tourmalet ou encore son choc avec Geraint Thomas dans la descente vers Gap.

            Le travail de Cyril Gautier : Le Costarmoricain n’a pas chômé lors de ce Tour de France. Le coureur d’Europcar a travaillé pour son leader en montagne Pierre Rolland (on l’a vu très en forme dans les lacets de Montverniers). Il s’est également distingué dans des échappées au long cours. Dans l’étape vers Rodez, il échoue à 300 mètres de la ligne d’arrivée en compagnie de Thomas De Gendt et Wilco Kelderman.

            Les barouds des BSE et de Pierrig Quémeneur : L’équipe bretonne s’est montrée lors de la Grande Boucle. Certes sans réussite mais l’esprit était bien présent. Fonseca, Périchon, Vachon, Feillu, Delaplace, Fedrigo… : Les BSE ont attaqué. Pierre-Luc Périchon et Anthony Delaplace ont même reçu le prix de la combativité lors de ce Tour.  Autre coureur à s’être distingué sur le podium du plus combatif : Pierrig Quemeneur. Le Finistérien a effectué 508 kilomètres en échappées. Il a pris part à 6 échappées. Les jambes étaient là pour le Léonard.

            L’ambiance des étapes bretonnes : les trois jours en Bretagne (de Fougères à Plumelec) ont encore montré à quel point le territoire breton aimait le Tour de France. L’ambiance et la foule des grands jours ont accompagné les coureurs notamment à Mûr-de-Bretagne et dans la côte de Cadoudal à Plumelec.

            On a moins aimé 

            La mésaventure de Sepulveda : Cela restera comme le gros point noir pour la formation Bretagne –Séché Environnement sur ce Tour de France. La mise hors-course de l’Argentin leader de l’équipe  bretone alors qu’il était 20e au classement général. Son coup de stress  et l’incroyable histoire de 100 mètres effectué dans la voiture des Ag2r La Mondiale lui ont couté sa place. On espère revoir l’Argentin revanchard pour la suite.

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