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      • Tour d'Espagne # 20 : Les déclarations sur la ligne d’arrivée

      • Publié le 08/09/2012
          • Retrouvez ci-dessous les réactions du Français Romain Sicard ou encore des Espagnols Alberto Contador et Alejandro Valverde à l'issue de la 20e étape de la Vuelta disputée ce sameedi entre La Faisanera Golf et Bola del Mundo (170,7 km).
          • Tour d'Espagne # 20 : Les déclarations sur la ligne d’arrivée
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          • Valerio Piva (directeur sportif de Katusha) : « Denis Menchov a été très déçu par le Tour de France, rien ne s’y étant passé pour lui comme il l’avait envisagé. A la fin du Tour il m’a demandé s’il y avait une place pour la Vuelta et je lui ai dit qu’il devra accepter de travailler exclusivement pour Joaquim Rodriguez. Je dois dire qu’il l’a fait arrière-pensée tous les jours. Ce matin, je lui ai dit qu’il fallait absolument qu’il soit dans l’échappée du jour, pour donner un coup de main à Purito dans le final si besoin. Finalement, il gagne l’étape, c’est une belle récompense pour lui. Ce n’était pas facile pour moi de demander à un champion comme lui, qui a gagné des Grands Tours, de se sacrifier. Je suis très heureux qu’il vive une telle journée pour finir la Vuelta. »

            Alberto Contador (Saxo Bank-Tinkoff, leader de la Vuelta) : « L’étape était très dure et compliquée dès le départ. Movistar et Katusha semblaient très motivées pour placer des hommes dans l’échappée et rendre ma course difficile. Heureusement, mes équipiers ont de nouveau été fantastiques et Euskaltel a également beaucoup travaillé pour essayer de faire gagner Igor Anton. Je me suis contenté de contrôler mais j’ai été inquiet en comprenant que Valverde voulait attaquer. Ensuite, calé dans son sillage, me disais que chaque kilomètre qui passait me rapprochait de la victoire finale. Quand Rodriguez a attaqué, je me suis dit que la différence serait minîme, me souvenant de la course de Nibali et Mosquera dans la Bola del Mundo en 2010. Mes jambes me faisaient mal mais beaucoup de fans m’ont encouragé. Désormais, je veux apprécier ce que j’ai fait.»

            Alejandro Valverde (Movistar, 2e de la Vuelta) : « Ce fut une étape extrêmement dure, non pas seulement en raison du parcours et du rythme mais aussi des conditions météorologiques. Dans la descente du premier col, j’ai beaucoup souffert du froid. Mon équipe a été extraordinaire pour moi à ce moment-là et petit à petit j’ai retrouvé mes meilleures sensations. Je ne connaissais la Bola del Mundo qu’en vidéo. L’attaque de Purito a fait mal mais dans le dernier kilomètre, j’ai tout donné pour qu’il ne me prenne pas ma seconde place. Je suis très heureux de ce résultat en  n’oubliant pas que sans le temps perdu dans ma chute durant l’étape de Valdezcaray, je serais à 20 secondes de Contador. »
             
            Romain Sicard (Euskaltel, 5e) : « Je suis déçu du résultat parce que seule compte la victoire. Je pense que les coureurs qui ont fini devant moi étaient simplement plus forts que moi. J’étais tout prêt de revenir sur eux avant de prendre la rampe finale vers Bola del Mundo mais je connaissais bien ce col pour être venu en stage ici et je me doutais que je ne pourrais pas le faire sur cette pente. Je suis en revanche satisfait de finir mon premier Grand Tour ainsi, en démontrant de grandes facultés de récupération. Cette cinquième place, c’est positif pour l’avenir. »

            Bjarne Riis (Manager de Saxo Bank-Tinkoff Bank): “Demain, nous gagnerons la Vuelta. Bola del Mundo était une ascension difficile mais Alberto l’a bien négociée. Il n’était pas super et les derniers kilomètres ont démontré qu’il n’avait pas de bonnes jambes mais ce n’était facile pour personne. L’objectif d’Alberto était de survivre. »

            Simon Clarke (Orica-GreenEdge, meilleur grimpeur de la Vuelta): “Aussi bien que je pouvais être, il était nécessaire d’avoir de la réussite pour marquer des points aux sommets des cols de cette étape. Et j’ai eu de la chance. J’étais très nerveux, avec la peur de rater la bonne échappée parce que les étapes passées, il avait fallu attendre parfois deux heures. Je redoutais que ce ne soit impossible. Je me suis concentré sur ma course, sachant que Joaquim Rodriguez allait marquer plus de points que moi à l’arrivée. Je n’avais que deux points d’avance sur lui ce matin et si je n’avais été dans cette échappée, pour moi c’était fini. A la fin, je gagne ce maillot à pois mais ça représente beaucoup de stress. Je ne suis pas un gimpeur mais un opportuniste ! Il y a longtemps que j’attendais un déclic et cela vient avec une victoire d’étape en plus. C’est immense. NDLR : Il s’agit du premier maillot distinctif de son équipe Orica-Greenedge dans un Grand Tour.

            Remerciements au service de presse du Tour d'Espagne


             

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