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Sportbreizh, pour le dynamisme du vélo breton
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          • Pour sa 29e édition, l’Étape du Tour de France s’appropriera le 21 juillet, le parcours de la 20e étape de la Grande Boucle. À cette occasion, la cyclosportive de référence a décidé de prendre de la hauteur en reliant Albertville à Val Thorens, aux termes de 135 km et 4 563 m de dénivelé. Avant de parvenir au sommet, les participants devront, comme leurs homologues professionnels, s’employer pour venir à bout d’un tracé technique et exigeant.
          • Tous à l’assaut de Val Thorens !
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            Rapidement après le départ d’Albertville, la route s’élèvera depuis Beaufort, jusqu’au Col de Méraillet, une ascension de 11,8 km, à 7,31% de dénivelé positif.  Une fois gravi, les coureurs auront 2,5 km de vallée offrant une vue imprenable sur le lac de Roselend avant d’atteindre le Cormet de Roselend et ses 5,5 km à 5,9%. Après cette première difficulté de catégorie 1, une descente longue de 19 km permettra aux cyclistes de reprendre un peu de forces. Les quelques virages serrés et le dénivelé négatif à 6% demanderont toutefois de ne pas mêler vitesse et précipitation.

             

            Arrivés à mi-parcours, il faudra attaquer un deuxième obstacle de taille : la Côte de Longefoy et ses 6,7 km à 6,8 % de moyenne (portion chronométrée), suivi d’un effort supplémentaire de 4 km pour relier le Col du Tra, point culminant de cette ascension de 2e catégorie (1 311 m), avant de traverser Notre-Dame-du-Pré. La route qui suit est inédite. Si les décors qui mènent jusqu’à Moutiers sont à couper le souffle, les coureurs devront rester attentifs aux segments sinueux de la descente. Et pour cause, le dénivelé négatif atteint jusqu’à 9% sur une portion comprenant plusieurs virages en épingle.

             

            Dépassé Moutiers et les 4 km de vallée qui s’ensuivent, les participants pourront partir à l’assaut de l’ultime défi : l’ascension de Val Thorens. En dépit de la fatigue, il faudra se sublimer pour traverser les 33,5 km de ce col hors-catégorie à 5,5% de moyenne, par la route en balcon de Saint-Laurent-de-la-Côte, puis de Saint-Martin-de-Belleville, terre natale de nombreux champions olympiques. Reste le final, qui promet d’être haletant. Il reviendra notamment aux participants de braver l’hypoxie et la baisse de température pour grimper les 7 derniers km à 7,5% de dénivelé. La ligne d’arrivée pointera alors le bout de son nez, et les finishers seront invités à savourer l’instant présent autour d’une collation bien méritée pour avoir parfaitement précédé les coureurs professionnels sur l’une des étapes décisives de la 106e édition du Tour de France.

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