• Votre courriel
    Votre mot de passe

80 huelgoat.jpg
Sportbreizh, pour le dynamisme du vélo breton
OK
Actualités
      • Vuelta #10 : Chris Horner plus fort que tout le monde !

      • Publié le 02/09/2013
          • Une semaine après s’être imposé au Mirador de Lobeira (étape 3), Chris Horner s’est imposé en solitaire dans la dixième étape du Tour d’Espagne au sommet de l’Alto de Hazallanas et s’est emparé du maillot rouge de leader, Daniel Moreno ayant concédé plus de deux minutes.
            Pour sa part Warren Barguil a chuté au départ et termine à 25 minutes de Horner.
          • Vuelta #10 : Chris Horner plus fort que tout le monde !
          • Vuelta #10 : Chris Horner plus fort que tout le monde !
          • Vuelta #10 : Chris Horner plus fort que tout le monde !
          • Une chute, impliquant le leader de la Vuelta, Haimar Zubeldia (RadioShack-Leopard) et Warren Barguil (Argos-Shimano) se produit entre le départ fictif et le départ réel. Le Belge Bart De Clercq (Lotto-Belisol), 20e du classement général, est contraint à l’abandon de même que le sprinteur canadien Guillaume Boivin (Cannondale). Cette chute provoque la neutralisation du début de course. Les coureurs prennent finalement le départ après 19 kilomètres.

            Popovych (RadioShack-Leopard) Landa (Euskaltel), Géniez (FDJ.fr), Grivko (Astana) et Cardoso (Caja Rural) sont les premiers attaquants. Leur échappée est circonscrite par BMC au km 9. Alberto Losada (Katusha) quitte également la course suite à la chute. Il est imité par Barry Markus (Vacansoleil-DCM).


            Après avoir figuré dans un groupe de 21 coureurs en tête de course, le Hollandais Clement (Belkin) provoque une échappée de 10 coureurs avec Flecha et Marczynski (Vacansoleil-DCM), Ulissi (Lampre-Merida), Preidler (Argos-Shimano), Meersman (OPQS), Paterski (Cannondale), Kohler (BMC), Juan Jose Oroz (Euskaltel) et Sijmens (Cofidis).

            Fenn (OPQS) et De Gendt (Vacansoleil-DCM) abandonnent. L’écart entre les 10 hommes de tête et le peloton est de 4’28’’ au km 96. Il est de 6 minutes au km 118. L’écart n’est plus que de 2 minutes au pied de l’Alto de Monachil (km 150,5).

            L’échappée se disloque dans l’ascension de l’Alto de Monachil. Ulissi passe en tête au sommet devant Marczynski et Preidler qui n’ont pas été rejoints par le peloton réduit à une trentaine d’unités. L’écart est de 1’45’’ au pied de la dernière difficulté derrière les trois hommes qui se sont regroupés. L’équipe Movistar est la plus active en poursuite.

            Marczynski distance ses deux rivaux mais les accélérations successives d’Anton (Euskaltel), Nibali (Astana) et Pozzovivo (Ag2R-La Mondiale) rapprochent le peloton sur les pentes les plus raides de la montée finale. Le maillot rouge Daniel Moreno (Katusha) et Sergio  Henao (Team Sky) sont distancés.
            Marczynski est repris à 5 km de l’arrivée, Nibali et Basso accélèrent à tour de rôle.

            Horner attaque à 4,6 km de l’arrivée. Il est poursuivi par Nibali, Basso, Rodriguez, Valverde, Pinot et Roche. Basso puis Nibali attaquent à 2,5 km de l’arrivée. Le vainqueur du Giro part seul en poursuite derrière Horner.

            L’Américain s’impose en devançant Nibali de 48’’, Valverde, Basso, Rodriguez et Pinot de 1’02’’, Roche de 1’10’’, Anton et Pozzovivo de 1’25’’. Majka est à 1’52’’. Daniel Moreno franchit la ligne d’arrivée à 2’11’’.
            Christopher Horner vivra la journée de repos dans la position du leader de la Vuelta.

            L’interview du vainqueur

            Chris Horner : « Je pense perdre le maillot rouge à Tarazona »

            Etes-vous le coureur le plus fort de la Vuelta ?

            Je me sens vraiment bien, c’est évident mais je ne sais pas si je suis le plus fort. Je suis l’un des plus forts. Disons que je suis parmi les favoris.

            Etes-vous surpris des écarts réalisés dans la montée finale ?

            Non ! J’avais vu que mes rivaux n’avaient plus d’équipiers. J’ai vu que Valverde souffrait. Je me suis dit que si je pouvais prendre quelques secondes, ils pourraient jouer tactique et se regarder et ils ne m’ont pas repris ! Je suis resté tout le temps dans la roue de Nibali et mon plan était d’attaquer à deux kilomètres de l’arrivée. Avec le contre la montre, l’Italien pouvait se permettre de me laisser une minute et finalement je gagne avec 40 secondes environ.

            Pourquoi êtes-vous pessimiste avant le contre la montre ?

            Je ne sais pas si le parcours me convient. Cela fait quelques années que je n’ai pas fait un bon chrono. Je m’attends à laisser le maillot rouge à Nibali mercredi à Tarazona. Je suis un grimpeur, j’ai un petit gabarit…Mais après tout, pourquoi pas mercredi, qui sait ?

            Que savez-vous des étapes pyrénéennes ?

            Je ne sais rien. Après le briefing ce matin, je disais aux journalistes que je ne connaissais pas les cols de cette dixième étape mais quand je suivais Jaroslav Popovych dans la dernière descente, je me suis souvenu de cet endroit. Je ne peux pas me souvenir si je suis venu ici en 2006 ou en 2007. Je ne connais pas le nom de ces cols. C‘est seulement en grimpant que je me suis souvenu les avoir déjà grimpés. Il est possible que je connaisse des cols des Pyrénées, il est même possible que je les connaisse tous.

             

            Info:www.lavuelta.com

Rechercher une actualité
Votre recherche
Page spécialeTaper le début du nom de la page spéciale et choisir dans la liste.
Publiée du
Calendrier
Au
Calendrier

Mentions légales | Designed by diateam | Powered by diasite