Barguil en Italie

Ce mercredi, place à Milan-Turin, semi-classique italienne créée en 1876: la course la plus ancienne encore au calendrier. Elle précède de vingt-quatre heures Grandpiemonte, anciennement appelée Tour du Piémont. Dans ces deux courses, l’arrivée sera jugée au sommet d’une belle côte et Warren Barguil y aura forcément un bon coup à jouer.

 

 

 
La composition Milan-Turin et Grandpiemonte

Warren Barguil
Aurélien Doleatto
Elie Gesbert
Romain Hardy
Romain Le Roux
Jérémy Maison
Amaël Moinard

Directeur sportif : Yvon Caër

 

La réaction

 

Yvon Caër

« Pour Milan-Turin tout va se jouer dans le final, précisément dans la côte de Superga, escaladée une première fois à 20 kilomètres de l’arrivée puis pour désigner le vainqueur. Cette ascension est longue de 5 kilomètres et fait toujours la décision. Pour nous, compte tenu de sa condition et de la fatigue de ses équipiers, notre seule carte sera Warren Barguil. Il est resté frustré par le scénario du Grand Prix Beghelli et de n’avoir pu, sur une faute de placement, accompagner le groupe des sept coureurs qui s‘étaient présentés pour la victoire.

Pour ses équipiers, la tâche est simple, bien le protéger toute la journée et bien le placer au pied de la côte. Amaël Moinard qui mettra un terme à ma carrière jeudi soir, saura bien conseiller ses équipiers. Dans Granpiemonte, jeudi, la problématique est la même avec deux côtes dans le final et notamment, pour finir, le sanctuaire de Oropa très souvent escaladé pendant le Tour d’Italie ».