Reprise de la Coupe de France PMU...

La coupe de France PMU reprend ce dimanche à l'occasion du Grand Prix de la Marseillaise. Retrouvez ci-dessous la 1ère newsletter PMU.

1. L'interview de Thibaut Pinot - Confirmer n’est jamais facile ! » Révélation du Tour de France 2012, avec une 10e place finale et un succès d’étape à Porrentruy à 22 ans, le grimpeur de la FDJ se sait très attendu à l’orée de la saison 2013 qu’il lance dimanche, à l’occasion du Grand Prix La Marseillaise. - Thibaut, dans quel état de forme êtes-vous à quelques jours de l’ouverture de la saison en France ? Plutôt bien. On était en stage en Corse la semaine dernière et on a bien pu travailler. En Franche-Comté, la météo était moins agréable ces jours-ci mais j’ai pu continuer à m’entraîner, notamment en VTT. Les problèmes de genou que vous avez rencontré début janvier, est-ce de l’histoire ancienne ? C’est vrai que ça m’a handicapé pendant trois-quatre jours mais je pense que j’ai plutôt bien géré ça. En tout cas, ça n’a pas eu vraiment de conséquences sur ma préparation. 2. La Pomme-Marseille ressent une pression particulière - Sur ses terres, la formation continentale marseillaise, qui a pris du volume durant l’inter-saison, espère dimanche se montrer à son avantage. Comme tout au long de la Coupe de France-PMU, le véritable fil rouge de son calendrier. Nous faisons le point avec son manager, Frédéric Rostaing. LA MARSEILLAISE « C’est un peu tout le début de saison qui se déroule sur nos terres et donc, c’est important pour nous de pouvoir nous mettre en valeur devant notre public et nos partenaires. Pour le Grand Prix La Marseillaise, les organisateurs sont des amis, certains des bénévoles de notre structure leur apportent du soutien, il y a une pression particulière mais il faut arriver à la positiver. Et nous, on reprend même la thèse du peloton qui dit que gagner cette course porte malheur toute la saison ». LA VIE EN CONTINENTALE « A ce niveau, on vit bien mieux en France qu’à l’étranger, c’est bien plus structuré. On possède certes le plus petit statut professionnel, avec un budget autour d’un million d’euros mais on peut du coup être entendu par les organisateurs et la Coupe de France nous offre un fil conducteur tout au long de la saison. Après avoir longtemps été au top niveau amateur, on a franchi une étape importante mais on ne compte pas forcément s’arrêter là ».