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          • La plus longue étape du Tour de France entre Chauvigny et Sarran s’est disputée en deux temps. Dans un final escarpé, les Men in Glaz ont été acteurs. Comme attendu, la première heure de course est animée. Nombreux sont les candidats pour intégrer l’échappée du jour. Ils ne sont finalement que six en tête de la course : Sanchez, Asgreen, Burgaudeau, Walscheid, Politt et Erviti. Le peloton contrôle parfaitement l’écart, ne laissant pas plus de 3 minutes aux fuyards. De quoi attendre un final explosif…
          • Tour de France #12: la bonne journée glaz

          • À 50 kilomètres de l’arrivée, les premiers sprinteurs sont distancés au pied de la Côte de la Croix du Pey. Bryan Coquard s’accroche mais les attaques fusent en tête de peloton. Des offensives qui font craquer Le Coq mais le B&B HOTELS - VITAL CONCEPT p/b KTM peut compter sur ses puncheurs - grimpeurs. Dans le même temps, Quentin Pacher se glisse dans un groupe cinq étoiles. Le Toulousain accompagne Schachmann et Soler, anciens vainqueur de Paris-Nice, ainsi que trois coureurs du Team Sunweb : Benoot, Hirschi et Kragh Andersen.
             
            Redoutable ascension, le Suc au May se dresse devant les six coureurs. Tiesj Benoot durcit le rythme, Marc Soler attaque mais l’Espagnol se fait contrer par Marc Hirschi. À l’arrière, ça bouge de nouveau. Julian Alaphilippe sort du peloton et reprend un groupe de contre où figure Pierre Rolland. À la bascule, ils reprennent Quentin Pacher et chassent Marc Hirschi, seul en tête.
             

            DEUX MEN IN GLAZ DANS LE TOP 5 !

             
            Le jeune Suisse, déjà très en vue à Nice puis à Laruns, réalise un nouveau numéro solitaire. La bataille fait rage dans le groupe de contre. Quentin Pacher et Pierre Rolland ne comptent pas leurs coups de pédale. L’Orléanais se détache dans les quatre derniers kilomètres pour aller chercher la deuxième place de l’étape. Quentin Pacher donne tout pour terminer quatrième et parachever une formidable étape des Men in Glaz.
             
            Si la victoire échappe aux hommes de Jérôme Pineau, elle se rapproche doucement… Demain, le Tour de France offrira un terrain de jeu très alléchant. Départ de Chatel-Guyon à 11h50 pour 191 kilomètres. Arrivée au sommet du Pas de Peyrol à 1589 mètres d’altitude. Cette ascension de première catégorie interviendra juste après le Col de Neronne.
             

            Les mots glaz


            Pierre Rolland : «Il ne m'a pas manqué grand chose aujourd’hui. Marc Hirschi était trop fort, il est parti au moment le plus difficile et a fait la différence dans la montée, dans la descente... Derrière on roulait pourtant très vite ! Il n’y a pas de regret à avoir. Il n'y avait pas une grosse entente dans le contre car Julian Alaphilippe faisait figure d'épouvantail. On a compris que l'on allait jouer la place de deuxième. J'ai tenté mon va-tout dans le final mais je suis tombé sur un os. Hirschi était intouchable.
             
            Depuis la reprise de la saison, je me sens bien, épanoui. Le confinement m'a permis de soigner mon poignet dont je souffrais encore suite à ma double fracture. J'ai l'impression d'être tout neuf. Cette coupure m'a fait du bien. Deuxième, c'est bien mais il n'y a que la victoire qui compte. J'ai des bonnes sensations et j'espère en claquer une ! J'ai coché des étapes mais je ne vais pas vous dire lesquelles. (Rires)

            On verra comment les jambes répondent dans les prochains jours. J'ai fait le choix d'être loin au général, c'est pour me faire plaisir un maximum jusqu'à Paris. Le résultat est encourageant mais il nous manque la victoire. J'espère que l'on verra l'un des Men in Glaz sur la plus haute marche du podium. Que ce soit moi ou un autre.»

            Quentin Pacher : «Deuxième et quatrième, c'est bien, mais on cherchait autre chose qu'un tir groupé. On est tombé sur un Marc Hirchi très fort. Aujourd'hui, il n'y a pas la victoire mais on peut être fier de nous.
             
            Pierre Rolland est en bonne condition, il attendait de rentrer réellement dans son Tour de France. Il affectionne les parcours comme aujourd'hui. Lui comme moi, nous sommes des offensifs. La course que l'on a menée aujourd'hui nous rend ambitieux. C'est comme ça que j'aime courir et que ça me réussit. Quand j'ai senti le bon moment venir, j'y suis allé !»

          • Sarran ( 19 )
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